Cet article a été publié il y a 7 ans 3 mois , il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées.
Effectivement Jean-Noël, l’étude proposée n’a pas interrogé les entreprises sur les prestations qu’elles attendent pour ce prix moyen. Il est donc difficile de répondre précisément à ta question.
En revanche, l’étude aborde d’autres points qui peuvent nous aider à comprendre l’attente :
1) Les raisons pour lesquelles les TPE s’intéressent au community management : a) augmenter leur notoriété (89%) b) améliorer leur relation-client (80%) c) et enfin, fidéliser leurs clients (55%).
2) elles précisent aussi les échecs qu’elles ont rencontrés en gérant elles-mêmes leurs communautés grâce aux médias sociaux : a) le manque d’intérêt ou d’interactivité, b) la difficulté à recruter et à fidéliser leurs fans, c)l’échec de la gestion de crise (dérapages, insultes), d) un taux de conversion des fans en acheteurs quasi nul, e) le manque de visibilité et de notoriété, etc. (voir la suite en diapositive 54).
On peut donc se dire que, plus que de la gestion « technique », les entreprises attendent d’un community manager externe du conseil et de l’accompagnement à la conduite de projet ?
Merci pour ce partage, Karine. Et ma question bonus : les entreprises espèrent avoir quoi comme type de prestation pour ce tarif? As-tu une idée? A bientôt. JN
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Effectivement Jean-Noël, l’étude proposée n’a pas interrogé les entreprises sur les prestations qu’elles attendent pour ce prix moyen. Il est donc difficile de répondre précisément à ta question.
En revanche, l’étude aborde d’autres points qui peuvent nous aider à comprendre l’attente :
1) Les raisons pour lesquelles les TPE s’intéressent au community management :
a) augmenter leur notoriété (89%)
b) améliorer leur relation-client (80%)
c) et enfin, fidéliser leurs clients (55%).
2) elles précisent aussi les échecs qu’elles ont rencontrés en gérant elles-mêmes leurs communautés grâce aux médias sociaux :
a) le manque d’intérêt ou d’interactivité,
b) la difficulté à recruter et à fidéliser leurs fans,
c)l’échec de la gestion de crise (dérapages, insultes),
d) un taux de conversion des fans en acheteurs quasi nul,
e) le manque de visibilité et de notoriété, etc. (voir la suite en diapositive 54).
On peut donc se dire que, plus que de la gestion « technique », les entreprises attendent d’un community manager externe du conseil et de l’accompagnement à la conduite de projet ?
Qu’en pensez-vous ?
Merci pour ce partage, Karine.
Et ma question bonus : les entreprises espèrent avoir quoi comme type de prestation pour ce tarif?
As-tu une idée?
A bientôt.
JN